dimanche 18 février 2007

Une incompatibilité viscérale

- Quelle que soit la difficulté de la situation, le plus important est d'avancer. Une première démarche, aussi limitée et prudente soit-elle, vaut mieux qu’un immobilisme prolongé.

- Il y a effectivement des moments où ce n'est pas la peine d'insister dans une voie… Il vaut mieux en changer, même si cela doit aboutir à une séparation.

- À partir du moment où nous restons dans une attitude d'ouverture et dans la recherche d'une solution satisfaisante pour toutes les parties, nous pouvons trouver des solutions à des problèmes qui paraissent a priori inextricables.

- Il y a des situations et des personnes ou, plus exactement, des modes de fonctionnement et des attitudes qui nous sont plus difficilement supportables que d'autres. Les attitudes pénibles pour nous ne sont pas forcément celles qui crispent nos interlocuteurs, et réciproquement.

- Ces réflexes sont profondément ancrés en nous et touchent à des sujets sensibles. En travaillant sur les problèmes relationnels concrets que nous rencontrons, nous approfondissons notre compréhension de nous-mêmes et sommes en mesure de venir à bout des freins et des obstacles qui nous pèsent le plus.

- Si nous ne voulons pas changer, c'est parce que les bénéfices que nous trouvons à être comme nous sommes nous semblent plus importants que ceux que nous obtiendrions si nous changions.

Le jour où nous prenons conscience des bénéfices importants que nous allons obtenir en changeant, l’impossible devient possible.


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